Il est bon, en ces temps de mensonges historiques institutionnalisés, de faire un bref et utile rappel historique sur le phénomène de l’esclavage, notamment sur la traite négrière. Les Européens n’ont joué qu’un rôle d’épiphénomène dans cet esclavage qui était majoritairement organisé par les Juifs. 5 Juifs étaient à bord des navires de Colomb. C’est l’un d’entre eux, Gabriel Sanchez, qui - avec l’aval des quatre autres – fit capturer 500 Indiens pour les revendre à Séville. Expulsé d’Espagne, les Juifs partirent aux Pays-Bas et fondèrent la Compagnie hollandaise des Indes Occidentales dont le premier négrier fut Hayman Levi, précurseur du commerce triangulaire. Il fut surpassé en « génie » par ses coreligionnaires Nicholas Löwe et Joseph Simon qui, à Newport, créèrent un réseau de 22 distilleries, vendant le rhum aux Indiens et aux colons, se rendant responsables des massacres commis par ces derniers, ivres-morts… Newport devient une ville juive, la plaque tournante du trafic d’esclaves dont ils avaient le quasi-monopole eux et leur flotte de 128 vaisseaux, notamment ceux d’Aaron Lopez qui, de 1726 à 1774, contrôlait à lui tout seul 50 % du marché et ce sont ses coreligionnaires Sandiford Lay, Salomon, Benezet et Woolman qui essayèrent, sans succès, d’imposer l’esclavage dans les Etats du nord. Parmi les esclavagistes juifs, notons un certain Matthias Bush en Pennsylvanie au 19e siècle et John et Jacobus Rosenfeld, qui n’avaient pas encore fait changer leur nom en Roosevelt… En France, le principal esclavagiste était un certain Mendes, qui prit le nom de Mendès-France pour se différencier du reste de la tribu restée au Portugal, qui fut condamné par la justice de Louis XVI à libérer sur-le-champ deux esclaves noirs qu’il avait amené en Europe. Il serait temps que les Juifs indemnisent les Noirs pour ce génocide de même façon que les Allemands les ont indemnisés… Il ne faut pas croire que les Juifs avaient le monopole de l’esclavage : si ces derniers ont amené près de 11 millions de Noirs en Amérique, leurs demi-frères arabes en ont amené tout autant là où le croissant musulman flottait. Ce sont 17 millions de Noirs qui auraient été déportés de 650 à 1920, plus d’un million et demi mourant dans le transport. Un sujet sur l’esclavage qu’il faudrait avoir le courage d’aborder, surtout à l’heure actuelle, c’est celui commis par les Musulmans à l’encontre des peuples d’Europe occidentale : selon l’historien américain Robert Davis, 1,25 million d’Européens de l’ouest ont été capturés et vendus comme esclaves par les actuels habitants du Maghreb. Déjà, à la Renaissance, on écrivait : « Le mois de juin suivant (1529) douze Galères & quelques Fustes de Mores s’estant arrétées plusieurs jours aux isles d’Hieres, firent de grands pillages sur tous les navires chrétiens qui passaient par là », puis ils attaquèrent La Napoule qu’ils brûlèrent et dont ils firent tous les habitants prisonniers et l’année suivante, ils « fourragerent toust le terroir de Toulon et d’Hieres jusqu’à La Valette, emportant meubles, bestiaux, hommes, femmes, enfans pour en recevoir rançan ou pour les vendre ». Ce passé jamais expié pèse encore actuellement dans les relations entre Français et Maghrébins, notamment dans le domaine des viols ethniques (les filles blanches sont considérées comme des « putes à harem », ce qui explique la complicité générale des beurettes dans ces tournantes) ou du racket (les Gaulois sont méprisés, la tradition des Barbaresques se transmettant de bouche à oreille, la civilisation arabe étant généralement orale, et sont considérés comme tout juste bons à être rançonnés, légalement ou non…). Finissons cet utile devoir de mémoire par un exemple personnel. Un camarade de promotion ivoirien prenait un jour un café avec moi car nous devions travailler ensemble. Une négresse d’Amérique, en manteau de fourrure, vint parler à son frère de race et voyant qu’il était d’Afrique et non Afro-américain, elle lui lança dédaigneuse : « Vous les noirs d’Afrique, vous êtes des singes à peine descendus de vos arbres ». L’Ivoirien, c’est le cas de le dire, entra dans une colère… noire et tança l’impudente : « Qui es-tu pour me parler ?Vous les noirs d’Amérique vous êtes une race d’esclaves. Là-bas, vous êtes tout juste bons à être les esclaves des Blancs et avant, vous étiez nos esclaves à nous car c’est nous qui vous avons vendus aux Blancs, ne l’oubliez pas, vous étiez nos esclaves avant d’être les leurs». In negro veritas…
@malka : tu te réjouis on dirait... mouhaha, ne viens plus donner tes leçons de moral indignées a sens unique, comme seul, les juifs savent le faire. Va vite prévenir chihuahua schlomo david
De l'industrie du savon, achète, le cours de l'action ne va pas tarder à monter ^^
@rebiss : Merci, tu pourrais me contacter en MP stp, j'ai essayé de le faire te concernant, mais tu ne les acceptes pas (s'agit d'un poème qui m'intrigue)